Charly's Kitchen, mieux manger, sans pression !

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👉 30 JOURS SANS ALCOOL : LE PLAN SIMPLE POUR SE LANCER

👉 30 JOURS SANS ALCOOL : LE PLAN SIMPLE POUR SE LANCER

#53. Un plan clair, des étapes concrètes, et les bons réflexes pour tenir 30 jours avec sérénité. Et + si affinités.

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Charles diététicien
mai 16, 2025
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Charly's Kitchen, mieux manger, sans pression !
Charly's Kitchen, mieux manger, sans pression !
👉 30 JOURS SANS ALCOOL : LE PLAN SIMPLE POUR SE LANCER
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👉 Je commence l'essai

🍀 On vous a transféré cette newsletter ? C’est votre jour de chance ! Charly's Kitchen, c'est THE PLACE TO BE pour mieux manger sans prise de tête.🧏‍♂️ Je consulte en visio et j’ai écrit le livre le + complet et décalé sur notre rapport à la bouffe! Hâtez-vous, filez doux sur la page “Commencez-ici” pour télécharger votre e-book de bienvenue sur les collations gourmandes ! 

👋Hello les nourrissant-e-s,

Ce que vous allez découvrir dans cette édition (et pourquoi ça pourrait tout changer) :

✅ Le guide ultime pour réussir votre pause sans frustration (37 pages de conseils concrets, humains et validés scientifiquement);

✅ 5 recettes de mocktails simples et bluffants (même sans Tom Cruise);

✅ Que faire face aux envies de sucre après l’arrêt de l’alcool (et pourquoi c’est normal)

✅ Les meilleures alternatives à l’alcool : peu sucrées et vraiment satisfaisantes (pour ne plus jamais "subir" un verre d’eau tiède).

Sacrée édition ! Ultra riche. Abonnez-vous pour bénéficier des bonus !

👋Mood de la semaine

Au vert. Mon ami Anthony Berthou (mais si, celui qui a écrit “Remettez du bon sens dans votre assiette, 41 préjugés déconstruits par un nutritionniste”) m’a invité à passer quelques jours chez lui, en région Nantaise. Beau temps, silence de la nature. Des sons apaisants, qui auraient des effets positifs sur la réduction de l’anxiété, selon une étude de 2022*, publiée dans la revue Scientific Reports. Hypothèse : peut-être que François Bayrou n’a pas assez écouté de chants d’oiseaux avant son audition en commission des lois. Hypothèse. #claquegate. Voilà, semaine difficile sur le boulot, avec un tournage bien stressant avec Hugo Clément (je vous en dis plus bientôt) et également personnellement, je ne m’étale pas. Au vert, au soleil, c’est déjà un cadre plus apaisant.

🎂 Le 12 mai dernier, c’était les 5 ans de DANS LA POIRE!, mon podcast !

5 années de contenu audio enregistré dans ma chambre entre 23h et 1H du matin (moins de motos dehors!), presque 50 heures de contenus, + de 1000 commentaires sur Apple Podcast (laissez le votre ici) et surtout, un des rares podcasts 100 % indépendants à exister 5 ans après sa naissance. Fierté d’avoir tenu cet ultra marathon, d’avoir traversé 2023 (le burn-out) et 2024 (le burn-out qui laisse des traces) avec, certes, moins de constance, mais comme je dis toujours, mieux vaut fait que parfait ! Enorme gratitude pour votre présence et vos remarques constructives. Elles m’ont permis de progresser et de vous proposer un contenu qu’on ne voit pas sur les réseaux sociaux, un peu comme dans cette newsletter = une forme de résistance à l’ère du temps, qui voudrait que l’on accélère toujours plus, qu’on abrège expresso, qu’on réagisse à, qu’on ressemble à des coureurs/coureuses cyclistes qui pédaleraient toujours plus vite, mais… dans le vide.

No way.

En tous cas, c’est tout l’objet, le sujet plutôt, d’avoir construit d’autres plateformes où l’on prenne le temps. Plus de temps, en tous cas.

Le 12 mai, concordance, c’était aussi mes 1 an sans alcool. Et je m’en suis rendu compte le lendemain !

1 an. 365 jours, 52 semaines, sans boire une goutte.

“N’importe quoi!”

C’est que je me serais probablement dit il y a quelques années. Et aujourd’hui, lorsque je liste tous les bénéfices pour mes santés (mentale, physique, émotionnelle, financière…) d’avoir arrêté l’alcool, je suis devenu quasi parano, voire un peu plus… Je vais vous expliquer, mais avant, sachez que j’ai documenté plusieurs aspects de cette année sans alcool dans ma mini série de podcast :

Episode 1 : Le déclic
👉 Qu’est-ce qui m’a fait basculé + qu’est-ce qui fait que j’ai continué après 30 jours ?

Episode 2 : les 3 moments où j’ai failli flancher
👉 Tout est dans le titre !

Episode 3 : les bénéfices inattendus de la sobriété prolongée
👉 C’est vraiment dans le temps + long que les bénéfices et le détachement lié à l’alcool se produit. Malgré vous, presque.

Episode 4 : les effets sur l’impulsivité alimentaire
👉 moins de grignotages, en tous cas, moins en mode “automatique”.

Episode 5 : le bilan : ce que je garde, ce que je laisse
👉 Episode Boussole !

Et vous, avez-vous déjà arrêté de boire ? Comment ça s’est passé pour vous ? Des conseils ? Ensemble, on peut réfléchir intelligemment !

Laissez un commentaire.

“Donc, Charles, tu nous avais dit… “parano”, c’est cela ?

👉 C’est cela, même, oui.

En fait, plus les semaines et les mois passaient, plus j’observais une forme de détachement vis-à-vis de l’alcool.

Ce que je ressentais : “c’est pas si grave si je ne bois pas ce soir”, “tant pis si je ne le fête pas avec de l’alcool”, “c’est pas très important pour moi, finalement, que ce plat typique ne soit pas accompagné avec du vin” ou que… “je sois le seul à ne pas boire”. 

Alors qu’il y a quelques années, je regardais ces hurluberlus qui arrêtaient totalement de boire avec circonspection, voire avec une certaine componction (= un air de gravité, mais avec une ironie mordante en deuxième effet Kiss Cool) : “hum, c’est juste qu’ils n’ont pas de palais”/”ils ne savent pas vivre”/”ils ne savent pas s’arrêter, c’est tout”/ “ah ben elle est belle la France, c’est quand même notre patrimoine et notre culture!”. Bref, pas mal de poncifs, je vous l’accorde !

➡️ J’ai développé une acuité particulière depuis mes années de journalisme. Davantage depuis mon arrêt de l’alcool. J’écoute toutes les interviews des groupements représentant lesdites filières. Le pivot central de leur argument, c’est :

…La modération

Pourquoi ? Parce que la modération “respecte” les repères de l’ANSES pour limiter les risques de consommation d’alcool (pas pour les éviter) : jusqu’à 10 verres par semaine et pas tous les jours. Donc, ils sont “dans les clous” , avec “l’aval” de la plus haute autorité de santé.

Mais surtout, surtout surtout surtout, c’est que la modération…

Elle vous tient.

La modération empêche ce détachement. La modération réitère le souvenir gustatif et sensoriel d’un shot embrasant, d’une gorgée de soleil gouleyant ou d’une vallée pourpre dévalant les parois du gosier. La modération vous/nous rappelle que le goût de l’alcool associé à son effet (anxiolytique, soulageant sur le moment) semble irremplaçable.

Vraiment, il n’y a qu’après avoir expérimenté des semaines et de longs mois sans aucun alcool, que j’ai pu intégrer, par mon corps, que…“ce n’est pas si grave de ne pas boire d’alcool”. Alors que j’adore le bon vin. Vraiment, c’est magnifique un bon vin. Je le sais !

C’est pour ça que j’ai utilisé le terme “parano” = “je me fais des histoires”. Je me dis pas : “le lobby du vin le sait parfaitement ! C’est pour ça qu’il voit d’un très mauvais oeil l’arrêt total de l’alcool. Ils ne veulent pas que nous le sachions! “ Ah ah ah ! En réalité, je n’en sais rien. J’ai juste observé que c’était la pierre angulaire de leur argumentaire :

“buvez, avec modération, mais buvez quand même”

Et moi, après plusieurs mois d’émoi, je l’ai dépassé, ce stade de “la modération”.

Comme si j’étais parvenu à m’arracher à une gravité invisible — celle des automatismes, des normes sociales, culturelles, historiques — pour franchir l’atmosphère et enfin évoluer en orbite, plus léger, plus libre.

Et maintenant, que vais-je faire?

Je n’en sais rien. Le soir du 12 mai, je n’ai rien célébré, j’avais zappé. Je suis arrivé au bout de cette expérience. J’étais intervenu sur le podcast l’année sobre. Thierry m’avait aussi dit que le soir des “un an”, il n’aurait probablement pas envie de s’ouvrir une bouteille. Ce qui ne m’aurait pas aidé, c’est de me dire, “tu arrêtes, à vie”. Je crois qu’il est probable que je re-consomme du vin. On verra bien. Ce que je souhaite, c’est que cette année sans alcool ait opéré un cliquetis en moi, quasi imperceptible, qui m’alerte d’une consommation trop fréquente d’alcool. Je ne souhaite plus boire du vin jusqu’à 10 unités par semaine. Le risque augmente dès le premier verre, quel que soit l’alcool. Donc, le “jusqu’à 10 verres par semaine” noie le poison et ne nous protège pas. Je pense qu’il faut le dire.

Je vais même + loin : à la lumière des connaissances actuelles sur sa toxicité, l’alcool ne répondrait probablement pas aux critères requis pour l’autorisation de mise sur le marché s’il devait être évalué aujourd’hui comme une nouvelle substance.

Et oui. C’est rude, non ? Retrouvons le sourire avec…

🎁 …3 BEAUX BONUS pour mes abonnés premium : Les conseils d’un addicto, le comparo des boissons alternatives et le guide pour s’y mettre !

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